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Entretien d'embauche : les phrases qui font peur aux recruteurs

  • publié il y a : 11 ans
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  • tags : Recruteur - entretien embauche - emploi - recrutement
Entretien d'embauche : les phrases qui font peur aux recruteurs

Elles vous paraissent naturelles, voire anodines, mais ces phrases déclenchent une véritable alerte chez les employeurs. Voici quelques phrases qui font fuir les recruteurs lors d’un entretien d’embauche.


« Je ne supportais plus mon ancien boss »

Qu’on ait démissionné ou été licencié, le recruteur en face de vous a envie de savoir pourquoi votre précédent contrat s’est terminé. Et, souvent, il est tentant de se défouler sur son ancien boss. « Votre futur patron sera très sensible à la façon dont vous parlerez de votre dernier environnement de travail et votre précédent employeur, observe Yves Maire du Poset auteur du livre "Entretiens de recrutement, Dites... ne dites pas". Il vaut mieux éviter de confesser qu’on s’y ennuyait ferme, qu’on était trop bon pour son ancien poste ou que son chef était un abruti. »
Il sera ensuite difficile pour votre interlocuteur de ne pas vous imaginer en train de débiner votre nouvelle équipe à la première difficulté. Il vaut mieux privilégier l’évaluation positive, voire une légère autocritique, à tout jugement négatif sur les autres.


« Combien de temps mon prédécesseur est-il resté en poste ? »

Là aussi, la question est légitime… mais elle souvent posée trop tôt et donc pas forcément très heureuse. Soit le prédécesseur n’a pas fait l’affaire, il a été éjecté rapidement, et la question s’avère délicate pour le recruteur. Soit il a reçu une belle promotion et vous passerez pour un curieux et un ambitieux.

Selon Benjamin Chaminade, expert en innovation managériale et co-auteur du livre "Wanagement : manager à contre-courant", votre interlocuteur risque surtout d’entendre « En combien de temps puis-je espérer être assis dans votre fauteuil ? ». Bref, vous risquez de passer pour le candidat « dont les dents rayent le parquet ».


« Mon boulot, c’est toute ma vie »

Vous êtes motivé, c’est bien. Mais gare à ne pas passer pour un accro du travail lorsqu’on vous questionne sur votre implication future dans le poste. « Tout excès ne contribue pas à rassurer », analyse Yves Maire du Poset.

Évitez ainsi les phrases définitives du genre « Mon boulot c’est toute ma vie ». Un recruteur préfèrera des propos plus nuancés du genre « Mon boulot compte beaucoup pour moi, tout autant que ma famille » ou « Si mon travail est important pour moi, je trouve aussi mon équilibre en faisant beaucoup de sport »  par exemple...




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